Visage au cinabre fermé
Âme sourde indémonstrative
Mais grisée d’émoi je salive
Te revêts d’eau l’épiderme et
Les monts rosés les faux cratères
Mille accidents de ce terrain
Que tu promènes au bas des reins
Reliés de parfums solitaires
J’irai me frayer un canyon
Tout de lagunes déguisée
Jusqu’au cœur souple des brisées
Où ton cru d’écorces bouillonne
Et qu’au débouché mon empreinte
En mouillant l’orgue aille plein sel
T’éjaculer ô demoiselle
Les râles que tu tais étreinte
Au débouché
Catégories : Octosyllabes (8)