Sept sorcières se sont pendues
À ton cou pour faire avec toi
Les choses viles défendues
Par tous les docteurs de la foi
L’une te prenant la main gauche
Quand vous fûtes déshabillés
La plongea droit dans la débauche
De son ventre déjà mouillé
Une autre à la lèvre vermeille
Caressante te chuchota
Mille obscénités à l’oreille
Dont en sus elle s’excita
Une troisième happant tes couilles
Qu’elle roulait entre ses dents
Avait la gorge qui gargouille
Et gémissait en se tordant
Sept sorcières se sont pendues
À ton vit de puissant démon
Ô délices tant attendues
Ô stupre ô luxure sans nom
La quatrième ouvrit les cuisses
Sur ta bouche et te laissa choir
Ses jus mêlés de jets de pisse
En te tenant haut le crachoir
Une autre encor lécha gourmande
D’entre tes fesses l’œillet nain
Puis devançant toute demande
T’encula du gras de la main
On vit alors les deux dernières
Se battre à qui va s’empaler
Sur ton nœud dur comme une pierre
Plus raide qu’un manche à balai
Sept sorcières se sont pendues
D’amour pour toi bel effronté
Leurs langues aux vierges vendues
Continuent de tout raconter
Dernier sabbat
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