La fête est commencée (31/07/2023)
Debout, belles dressées !
Pour le maître, debout !
Allons, au garde-à-vous,
Sinon c’est la fessée.
On jurerait des sœurs :
Aussi obéissantes,
Moites, la peau luisante,
Deux angelets jouisseurs.
L’une a la chevelure
Noire à l’instar des yeux
Qui caressent l’essieu
D’une envie presque pure.
Lui, pareillement droit,
Désire aussi la fille,
Et une bulle brille
À son riant méat.
Hardi, belles dressées,
Serves de mes plaisirs !
Au nom du grand vizir,
La fête est commencée…
09:12 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
Voilà un poème énigmatique : qui sont ces "belles", c'est un peu obscur pour moi...si vous pouvez m'éclairez...
Écrit par : Lili | 05/08/2023
Bienvenue, Lili!
Les deux belles bien dressées auxquelles s'adresse ici le maître sont 1) une femme soumise et 2) sa propre verge. Est-ce plus clair à présent? :D
Écrit par : Bella | 05/08/2023
Merci beaucoup de ta réponse ! C'est clair et net... Je ne sais pas ce qu'un homme peut éprouver à la vue d'une femme soumise, mais c'est une posture qui fait rêver... tout le monde !
Écrit par : Lili | 05/08/2023
Délicieux... à consommer sans modération.
Oui que diable redressez-vous et dressez-vous puisqu'au final vous aller succomber et vous rencontrer !
Écrit par : François Intime | 07/08/2023
Nous descendons clairement de l'homo erectus.
Écrit par : Bella | 07/08/2023