Une belle à Babel (19/03/2025)
Ô déboires sans fin de la chaude Espagnole
Qui vivait à Paris et s’y plaisait beaucoup !
En vain fantasmait-elle en cul qu’on la pignole,
Ses amants les plus fins ne comprenaient pas tout.
Por favor, baisez-moi lé coul !
Lorsqu’elle en dénichait un dont l’âme érudite
Laissait augurer qu’il réussirait son coup,
Elle tendait l’œillet mais, hélas ! cette bite
Non plus ne visait pas assez bien à son goût.
Madre de Dios, j’ai dit lé coul !
Le jour qu’elle connut un beau compatriote,
Elle roula des yeux, chanta Couroucoucou
À ce Pedro qui, au surplus, paraissait fiotte...
Par malheur, il était plus con qu’un caribou.
Hijo de puta, par lé coul !
Abandonnant le stupre et désormais fort vieille,
Elle erra, chaste et triste, au bras d’un vieux grigou
Galant auquel, un soir, elle dit à l’oreille :
Querido amigo, prénez-moi par lé cou !
Sur quoi il l’encula debout.
06:04 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Pas très sympa pour le caribou, Bella... :=)
Écrit par : Éric | 20/03/2025
Merde, tu as raison ! :(
Je demande humblement pardon à tous les caribous qui me lisent (et ils sont nombreux).
Et bise à toi Eric
Écrit par : Bella | 20/03/2025