La chienne (30/10/2024)

Vois de quel bois je me chauffe
Avant de m’ouvrir à lui
De quel phallus je m’endauffe
Qui glisse lisse et reluit
Ô l’admirable matraque
D’acajou sombre et de laque

Empoignant ses beaux couillons
Sculptés dans la masse rousse
Ô chérie nous en mouillons
L’une et l’autre allons je pousse
Et mon con vertigineux
Se referme sur ce nœud

Vois combien je me besogne
L’amour au ventre à deux mains
Je dois en faire une trogne
Frayant raclant le chemin
Que foulera la vraie bite
Dans une minute oh vite

Sont-ce pas au loin ses pas ?
Va convie-le va ma chienne
Et en vertu n’est-ce pas
D’une connivence ancienne
À lécher tel un bel os
Tu auras mon olisbos

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