Guenipe planète (25/03/2023)
Chu trop harcelée par mon boss
I veut quasi tout l’temps que j’bosse
Sauf que j’ai pas vraiment la bosse
À ça
J’préfère les doux moments qu’on dort
Ou qu’en bikini on s’les dore
En écoutant flûter l’condor
Pasa
Mon chef i file un trip chelou
Où qu’i s’agit d’rafler des sous
En les taxant à d’aut’ marlous
Pas nets
Chu tarabustée par ces types
Le monde est plein d’robots bip bip
J’ai pas ma place sur c’te guenipe
Planète
Rien à branler moi des talbins
J’veux paresser dans l’eau du bain
En caressant mon p’tit lapin
Tout rose
Mais l’encor mieux le rêve beatnik
C’est quand en enl’vant nos tuniques
Avec la belle Anna on s’nique
Le chose
Vrai chu concassée par ce boss
Qui veut à l’infini que j’bosse
J’y ai pourtant dit qu’j’ai pas la bosse
À ça
Passer sa life à turbiner
S’faire houspiller turlupiner
Je voyais pas l’mot tapiner
Comme ça
09:44 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Ca a t'y pas un vague air de râpe à fromage au lait cru (qui l'eut crû, turlute hutu, chapeau pointu ?), malgré El condor pasa simono-garfunkelien ?
Écrit par : Parrain | 25/03/2023
C'est un poème anticapitaliste... mais bon, tout le monde s'en fout. :D
Écrit par : Bella | 26/03/2023
Voilà un poème différent, pas de sexe, ni de bosse... juste le boss !! :)
Écrit par : François Intime | 27/03/2023
Comment ça "pas de sexe"?
Y a quand même la belle Anna et mon p'tit lapin, non?
Écrit par : Bella | 27/03/2023