Ce con de petit bois * (05/07/2025)
Qu’on plume, qu’on épile
Mon petit mont charnu
Je le veux archinu
Bourré de sex appeal
Tiens j’arrache mes voiles
Et me couche à tes pieds
Fais-le par amitié
Extirpe-moi les poils
Qu’on rase, qu’on défriche
Ce con de petit bois
Je sucerai tes doigts
En guise de bakchich
Tonds ce crin d’animale
Qui me rend peu porno
Tire sur ma laine… oh !
Cesse, ça fait trop mal
(*) Rien à voir avec la chanson d’Yves Duteil…
06:09 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Comment rester de bois devant ce con de petit bois archinu, bourré de sexe appeal ? Merci pour cette "douceur" matinale ;)
Écrit par : François Intime | 05/07/2025
Merci à toi de me lire !
Bises
Écrit par : Bella | 05/07/2025
Velu, partiellement rasé ou épilé, le con est toujours adorable ou adoré par ses sectateurs. Ensuite, il y a les goûts et les couleurs qui ne se discutent pas. Un mien ami, médecin de son état, me racontait qu'il était raide dingue des fourrures où il aimait se perdre. De plus, c'est un adepte du cunni-anulinctus. Depuis qu'il s'adonne avec ferveur à cette pratique ô combien délectable, un dilemme lui taraude le fion* : en s'auto-analysant de profundis*, il n'arrive pas à savoir où le porte sa préférence. Il raffole des buissons ardents, mais, me raconta-t-il un jour, "un ch'tit langotage, et j'en ramasse plein la bouche. Jusqu'aux amygdales ! Quand c'est épilé, je me régale. Seulement, il manque quelque chose. Presque rien... je ne sais quoi."
Que pensez-vous de ce dilemme, chère Bella ? Y a-t-il un moyen d'en sortir ? Faites-nous part de vos réflexions, idées, suggestions, solutions, etc.
Cordialement.
*Ca, c'est de mon cru. Vous m'excusez ?
Écrit par : Marc Bonetto | 05/07/2025