Derniers outrages (22/06/2025)
Que gros, gras, gonfle le gland
Épinglant
Mes mouillures et mes failles !
Qu’il trifouille, ô l’indiscret,
Mes secrets,
Quêtant là sa boustifaille !
Que la crépine rubis
Du zobi
Tremble et branle et rue de zèle,
En plongeant sonder l’étang
Qui s’étend
Sous mon con de demoiselle !
Qu’il force ce qu’il atteint,
Les satins
Moites, d’une aveugle rage !
Qu’il écarte à jamais l’huis
Tout à lui
Voulant les derniers outrages !
Qu’il me comble le vallon
D’un si long
Dard que j’en perdrai la tête !
Que gros, gras, gonfle le gland
Me cinglant
Telle une pluie de tempête !
09:08 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Ce poème est comme un appel... une invitation... alors, inutile de perdre du temps, il faut y aller "dard dard" ;)
Écrit par : François Intime | 22/06/2025
Tout à fait ! La vie est courte. Bises
Écrit par : Bella | 22/06/2025