La rivale (18/05/2025)
Si tu m’aimes plus, Margoton,
Si tu me refuses tes lèvres
Du con, leur étui de coton,
Moi, pauvre pâtre pris de fièvre,
J’irai tâter d’autres tétons.
Si tu me fuis, fourbe bergère,
Me celant tes lieux vénériens
Sans plus vouloir, dans la fougère,
Rouler ton cul contre le mien,
Si ton regard me réfrigère,
Il est des êtres sans ego
Auxquels mon cœur aussi s’attache.
Bref, si tu m’aimes plus, Margot,
Je me rabattrai sur la vache
Et son énorme berlingot.
08:44 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Très belle chute (de reins) !
Écrit par : Éric | 18/05/2025
Par certains côtés, la vache est imbattable. :D
Bise à toi
Écrit par : Bella | 18/05/2025