Buzz-moi encore ! (11/12/2023)

Sitôt entré il me fout ventre à terre
Sans nul hello ni s’être dévêtu
      Il m’aime à couillons rabattus
Trou dans son agenda totalitaire

Baisée coup sur coup, prise à fond de train
Crépitant comme une traînée de poudre
      En un éclair gicle la foudre
Buzz n’a jamais le temps quand il m’étreint

Moi coulante je mets les bouchées doubles
Et me donne à lui à tombeau ouvert
      Monte en flèche dans l’univers
Si haut que mes sens, mes pensées se troublent

Buzz me travaille à vitesse grand V
Crépitant comme une traînée de poudre
      En un éclair gicle la foudre
Puis revient la nuit : ciao, je m’en vais…

Un jour je bondis, m’accroche et m’écrie
RESTE ! il me répond, blanc comme un martyr
      Je faisais qu’entrer et sortir
Tu sais bien, je suis surbooké, chérie

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