Un ciel, enfin (25/05/2023)

Pine pleure un firmament
Vaste et élancée coupole
Qui descende incessamment
De ses doux piliers la frôle
De ses précieux appareils
La baigne comme un soleil
Pine pleure oh pine espère
Qu’un con sacré lave enfin
Au flot pur de ses parfums
Tant de stupres solitaires

Tu es parti si longtemps
Des jours entiers sans te foutre
Pine arquetendue t’attend
Dure et pleine ainsi qu’une outre
Viens ciel ô grenier d’Isis
Ensevelir ce pénis
Du désir de toi qui tremble
Daigne lui mettre un chapeau
Et de l’obscur de ta peau
Clore l’univers ensemble

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