Par procuration (18/05/2023)
J’aimais les regarder se mettre
Des jouets aussi gros que le poing
Il fallait pas leur en promettre
À ces deux jolis petits êtres
Moi derrière une autre fenêtre
Je peaufinais la mise au point
J’aimais les regarder se mettre
Des jouets aussi gros que le poing
Au vu des ébats des voisines
Je baisais par procuration
Me sentant l’âme d’une gouine
Me rêvant chaude et libertine
Et je m’étalais la cyprine
Par d’insolentes rotations
Au vu des ébats des voisines
Je baisais par procuration
L’une était brune et l’autre rousse
Deux diablotines sans défaut
Je ne les ai jamais vues douces
Lorsque se farcissant la gousse
Ou l’anus à fortes secousses
Elles braillaient mes deux nymphos
L’une était brune et l’autre rousse
Deux diablotines sans défaut
J’ai gémi quand elles quittèrent
La tour pour aller vivre ailleurs
Me laissant sombre et solitaire
Faire et refaire l’inventaire
Des clichés répandus par terre
Me branlant assise en tailleur
J’ai gémi quand elles quittèrent
La tour pour aller vivre ailleurs
09:17 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Bon sang, c'est dur de chez duraille, ça ! Vous aviez l'image, il m'est arrivé d'avoir le son, notamment d'une voisine dont les gémissements m'éveillèrent avant le jour.
Je rentre de voyage. Ma chambre d'hôtel donnait sur des fenêtres et, un chouia exhibitionniste, j 'en ai profité pour me balader nu. Pas trop quand même. On sait jamais, s'il y a des enfants, ça pourrait les traumatiser de voir un corps joliment décati. Hé ! j'ai pas envie de me retrouver au commissariat. Si j'ai attisé la concupiscence d'une dame, j'en sais rien.
Mes hommage.
Écrit par : Parrain | 19/05/2023
Prenez tous les risques, Parrain! Et n'hésitez pas à traumatiser les enfants, ils sont là pour ça.
Écrit par : Bella | 19/05/2023