Après l’averse (07/06/2025)
Seule à l’internat
La nuit s’étire et je cède
À mon cinéma
Après les averses tièdes
Tombées des nanas
J’épie les pisseuses
Occupées à fendre l’air
D’un jet d’eau crémeuse
Qui leur fait vibrer les chairs
Et me rend rêveuse
Car je guigne au trou
Des gogues les accroupies
Se vidant l’écrou
Dont le ventre blanc s’oublie
À l’odeur de brou
Je leur vois la gousse
Entre les doigts écarteurs
Et l’urine rousse
Roucoulant tel un chanteur
Lueurs et secousses
Ou bien c’est venu
Jaillissant des épidermes
À jet continu
Puis la belle se referme
Un moite con nu
Oui je le confesse
J’épie les pisseuses là
Qui s’essuient les fesses
Et je me caresse la
Chatte après l’averse
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