Le pied à l’étrier (24/08/2024)
Fils de l’amie d’enfance
Vous n’aviez que seize ans
De longs cheveux luisants
La crinière en vacances
D’un poulain alezan
D’abord vos yeux m’épièrent
Par le trou du rideau
J’apparaissais de dos
Vêtue d’une guêpière
Show chaud devant l’ado
Je surpris dans la glace
L’infime mouvement
D’une main doucement
Que vous baisiez sur place
Ô monacal amant
Me retournant sans hâte
Lors je vous révélai
Mon pubis emmêlé
Les lèvres de ma chatte
Et ma gorge de lait
Puis j’écartai les cuisses
Ainsi que le plus fin
De mes ourlets afin
Que votre appétit puisse
S’en enivrer enfin
Je ne l’ignorais guère
Ce farouche désir
Il me faisait plaisir
Nos deux faims se liguèrent
Au lieu de se choisir
Vous eûtes le courage
De quitter votre abri
De tulle et je souris
À votre air d’enfant sage
Nos yeux s’étaient compris
Ce soir-là nous vibrâmes
Chacun de son côté
Vous avez hoqueté
Quand sous mes yeux de femme
Votre pine a juté
Incube aux cheveux d’ambre
Et au vit affamé
Quand la villa dormait
Vous veniez dans ma chambre
Pour apprendre à aimer
Et au fil des semaines
Je sus vous prendre en main
Vous montrer le chemin
Jusqu’au vaste domaine
Des secrets féminins
Bientôt tout à fait homme
Vous me pénétriez
Bien que n’osant crier
Je vous ai mis en somme
Le pied à l’étrier
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