À tout casser (18/11/2023)

L’odeur de ton cul m’esclave
Sa vue m’a rendue marteau
Mais bientôt je serai brave
À te planter le couteau
D’un olisbos en le dos
De ce rond tyran si suave

Oui je saurai transpercer
Ton bas morceau de l’échine
Du bois verni d’une épine
Aux nœuds dur entrelacés
Baisant ton cul qu’invagine
Un anus à tout casser

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