La main passe (19/05/2022)

Baissez la garde, gentilhomme, on ne fend plus
Les gentes dames, de nos jours : on les caresse
      Pour commencer, on les déstresse
      On mêle au grain un doigt d'ivresse
Paume en avant, on joue le flux et le reflux

Dans son fourreau, par conséquent, rangez l'épée
Fi des butors, des embrocheurs, des spadassins
      Je veux la soie et les coussins
      Je veux qu'on effleure mes seins
Par-dessus tout, je veux ici être lapée

 

15:28 | Lien permanent | Commentaires (0)